Juliette : 21 ans (étudiante) / le 6 mai 2019 « J’ai eu l’opportunité de rencontrer Arielle Levy pour des séances de sophrologie en première intention. Je recherchais quelqu’un pour travailler sur mon stress et je me suis tournée vers elle en novembre dernier. Lorsque je suis arrivée pour ma première séance, elle m’a questionnée sur mon parcours professionnel et scolaire afin de comprendre ce qui me causait du stress. Immédiatement, Arielle a senti que mes études me perturbaient beaucoup.
À ce moment-là, j’étais assez perdue et ne voyait pas en quoi mon orientation pouvait générer du stress. Nous en avons reparlé lors des séances de sophrologie suivantes. J’ai fini par me demander si un coaching d’orientation pourrait m’aider à éclairer le chemin professionnel et personnel que je voulais prendre, (sans véritablement le savoir). Nous avons alors avancé séance par séances dans ma recherche. Je savais que mes études de sciences politiques ne me plaisaient pas mais je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire si j’arrêtais en cours de route mon master. Petit à petit et en combinant les coachings avec des séances de sophrologie, j’ai compris ce que je voulais faire professionnellement pour le moment et j’ai repris de confiance en moi. La combinaison d’un travail très pragmatique en coaching d’orientation et d’un travail sur moi-même plus personnel m’a permis de me retrouver et de mieux me comprendre. Ces séances m’ont permis de prendre des décisions pour mon futur professionnel et personnel et de mettre des mots sur mes envies cachées.«
Petit à petit et en combinant les coachings avec des séances de sophrologie, j’ai compris ce que je voulais faire professionnellement pour le moment et j’ai repris de confiance en moi. La combinaison d’un travail très pragmatique en coaching d’orientation et d’un travail sur moi-même plus personnel m’a permis de me retrouver et de mieux me comprendre. Ces séances m’ont permis de prendre des décisions pour mon futur professionnel et personnel et de mettre des mots sur mes envies cachées.«